Des Faux souvenirs reconstitues… à l’éclatement familial !

D’une famille unie et soudée comprenant 3 enfants, leurs conjoints, 4 petits‐enfants, nous arrivons à un déchirement général provoquant une implosion totale ; une procédure de plus de 6 ans (2256 jours) devant la justice avec 1755 pièces …contre 3 membres accusés, de prétendus faits de voyeurisme à l’encontre de 2 filles, datant de 25 à 30 ans plus tôt. Quelques semaines plus tard le 2 juin 2010 une accusatrice ajoute … inceste, et 4 mois plus tard … complicité, violence, pédophilie sur 4 petits enfants âgés, eux, de 11 mois à 4 ans ! Avec le résultat néant des expertises, il y avait d’emblée la pleine preuve d’endoctrinement des plaignantes, de complot, cabale par de multiples intervenants !

Malgré une enquête approfondie, très souvent à charge ; il n’y aura aucune interrogation ou recherche sur les 2 thérapeutes (indiqués avec leurs adresses) après nos seules auditions du 10 décembre 2010 et les confrontations avec les plaignantes dès le lendemain !

Les 7 plaintes des accusés seront immédiates mais ne seront jamais instruites ! Quant aux prétendus faits, un classement sans suite aura lieu le 25 octobre 2011 par le Procureur mais sans aucune nouvelle investigation durant ces 10 derniers mois malgré les documents fournis, auxquels s’ajoutent les mails, enregistrements et courriers à 2 procureurs, d’une personne extérieure, témoin de la dérive et du début de la cabale !

Nous sommes toujours écœurés et bouleversés, il y avait matière pour accéder à la vérité, aux dérives ; nous avions engagé des actions mais les enquêteurs nous ont indiqué que le procureur allait lui–même ouvrir des procédures, nous l’avons cru … l’intention a été écrite dans le rapport
MAIS rien a été fait, nous l’avons compris 6 ans après … au vu du dossier ! C’était le meilleur moyen de faire douter l’opinion sur l’élu tout en renforçant l’interrogation
des plaignantes : il est protégé !
D’où notre constante interrogation ? Volonté, laxisme, manque de moyens …

Ensuite une procédure de partie civile, contestant le classement sans suite du procureur, fut engagée début 2012 par les protagonistes ; nous serons entendus par un seul juge 2 et 3 ans plus tard.
A cette occasion, ce dernier a reconnu, à l’épouse accusée, ne pas avoir écouté les 12 messages de la fille plaignante enregistrées et communiquées durant 5 ans !
Ceux‐ci prouvaient pourtant l’escalade et le désordre !
Soucieux de transparence, nous enverrons à la justice : photos, courriers, réactions contre nous … Un 2° juge lui succédera … sans aucune trace d’action dans le dossier puis une ordonnance de non‐lieu arrivera enfin le 19 octobre 2015 par un 3° juge d’instruction … 5 ans après !

DES FAUX SOUVENIRS RECONSTITUES … A L’ÉCLATEMENT FAMILIAL !

Une procédure d’appel fut engagée immédiatement par les accusatrices, avec des avocats de renom national … néanmoins, un arrêté de la Cour d’Appel de Nancy comptant 19 pages arrivera 17 mars 2016 nous acquittant définitivement … 6 ans accusés à tort !
L’origine de ces accusations repose sur des faux souvenirs induits et reconstitués par des thérapeutes interprétant notamment des photos ! C’était NOTRE analyse et demande dès la 1° audition … quel gâchis avec une famille détruite à tout jamais et un temps inouï consacré par la justice sans aller à l’essentiel !

Comme si ce drame ne suffisait pas, la famille de l’épouse a pris parti en témoignant mensongèrement contre nous ; 8 auditions soit 20 pages, non sur les faits et pour cause…mais sur une prétendue vie trouble ; autoritarisme, maîtresses, tourisme sexuel… calomniant dans les entourages et lors des auditions auprès des enquêteurs !
Une sœur, de l’épouse accusée à tort, avait utilisé contre nous le terme de gourou et son mari celui de pervers narcissique !
Nos recoupements sont formels ce sont eux, d’ailleurs un de leur enfant l’a écrit !
L’ensemble de ces calomnies sera totalement contredit par une quinzaine d’autres témoignages (dont des enseignants de nos enfants) la justice reste fermée implacide … ce qui nous sert, ne lui suffit pas, y compris pour instruire nos plaintes !

A l’issue du jugement, le nouveau procureur en poste dans les Vosges communiquait publiquement sur notre innocence. Merci (article de presse joint) puis nous recevait en déclarant : « çà vient de partout, ils ont voulu vous faire passer pour le tyran de la vallée » Nous étions reçu par la Miviludes à Paris ; laquelle pense que nos accusatrices ont été
victimes d’une thérapie prétextant une mémoire enfouie ! Un capitaine de gendarmerie nous déclarait : « je ne sais pas comment vous avez fait pour tenir, j’en ai souvent parlé en déclarant … à sa place j’aurais pris mon arme de service »

L’ensemble sera exploité localement dans un contexte médiocre et politicien du fait des responsabilités électives du mari, maire durant 37 ans, conseiller général pendant 28 ans avec les frustrations évidentes de tous ceux qui voulaient sa place !
Il est à souligner qu’aucune remarque relatant une drague ou un propos sexiste n’est émise par le personnel majoritairement féminin avec 200 personnes sous l’autorité de l’accusé.
De plus, bien avant que la loi l’oblige, il y avait parité totale dans l’équipe municipale 27 élus dont 8 adjoints !
Là aussi, aucun dérapage, geste ou propos déplacé !
Au contraire un mouvement total de soutien !
Chacun devine néanmoins l’alimentation, la prolifération, le développement de la rumeur dans la ville de 5000 habitants, le département avec de tels délais voire dénis de justice !