Contenu et longueur d’instruction incohérents !

Le juge d’instruction reconnait ne pas avoir pas écouté les 12 messages odieux mais révélateurs de notre fille durant 5 ans !
Nous attendrons son départ fin 2014 pour qu’un autre étudie et clôture l’instruction !
Ce sera ensuite le réquisitoire du procureur plaidant pour un non‐lieu.
Enfin, un nouveau juge d’instruction prononcera l’ordonnance de non‐lieu le 19 octobre 2015. On découvrira que l’affaire commence en 2010, par l’avis d’une thérapeute à l’issue d’une séance d’hypnose puis une psychiatre (condamnée sur une affaire semblable) fait un
signalement, en prétextant que notre petit fils de 3 ans aurait subi des attouchements !

De ce fait, la maman est convoquée à la gendarmerie 3 semaines plus tard le 2 juin 2010 à Thonon, la tante et son mari sont présents sur place à 315 km de leur domicile !
L’audition se termine par une plainte.
L’autre fille dépose plainte le 17 juin à Grasse ! C’est le début de cette folie ! On comprendra, au vu du dossier, qu’après la demande de notre fille à son frère « j’ai besoin de toi » pourquoi elle n’a plus répondu !
Elle était mal, au point de se faire avorter au moment où, convoquée par les enquêteurs pour l’instruction, elle ne voulait pas se rendre dans les Vosges (lieu des prétendus crimes) le 6 octobre 2010 ; Eh bien, la solution se trouve ; ce
couple diabolique
(tante et son mari cités plus haut) se rend le 4 dans les Alpes pour aller la chercher puis l’amène à Nancy afin de compléter le scénario avec la nièce accusatrice ; cette dernière les accompagnera le lendemain à la gendarmerie d’Epinal puis déposera son schémas‐mémoire truffé d’inexactitudes, de mensonges contre nous
pour durcir et remettre une couche ! Sans aucun scrupule, trois semaines plus tard la tata et la nièce prétendent et nous affirment : TOUT ignorer, ne pas être au courant … Or, elles étaient à la manœuvre depuis avril soit 6 mois d’après leurs propres déclarations dans le dossier !
L’autre tante refuse d’entendre notre version mais reste active contre nous ; elle fait croire à notre fille du Sud, au moment où celle‐ci veut retirer sa plainte (dixit
le témoin)) qu’elle est en cure à proximité (ils étaient à 495 Km dans les Pyrénées) pour passer au domicile, s’incruster et la persuader de continuer, elle la soutient, elle est avec elle … dixit le témoin et un neveu !

Malgré le jugement… mais probablement avec les conseils destructeurs habituels des spécialistes locaux
et nationaux…l’affaire n’arrête pas là puisque les protagonistes font appel dans les 10 jours réglementaires à
l’ordonnance de non‐lieu en saisissant la Cour d’Appel de Nancy ; la procédure arrivera à l’audience du 21 janvier
Après une importante plaidoirie, le délibéré de l’arrêté comptant 19 pages, confirme le non‐lieu, il sera rendu public le 17 mars 2016.

Ce sera le 11 mai (après de multiples appels de notre part) que la notification
nous parviendra par huissier.
Chaque partie dispose de 5 jours pour se pourvoir en cassation.
Le 27 mai 2016, après un délai anormal de 65 jours, nous apprendrons que la décision de la cour d’appel est définitive, il n’y a pas de pourvoi en cassation !
Toutes les pistes ont été creusées, fouillées … pour des plaintes déposées 18 et 20 ans après leur majorité … et 30 ans ou 35 ans après les faits prétendus !